Mise à jour

'' Les Sites V1 en Picardie ''

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     Au préalable, un point d'explication :  Quelques lecteurs m'ont posé la question du pourquoi avoir placé en couverture du livre la photo du site du Val Ygot en Seine Maritime ?   En fait, j'ai souhaité ainsi promouvoir cette excellente initiative prise il y a quelques années par cette association de bénévoles qui présente, en partenariat avec l'ONF, ce site de lancement de la première génération, un lieux de mémoire qui rend ainsi hommage aux milliers de victimes causées par le V1.

 

       PARTIE 1         DESCRIPTIF TECHNIQUE DU V1

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     PARTIE 2                LES SITES DE V1

      Erratum      

      -  page 57 :  Les premiers V1 ont été lancés dans la nuit du 12 au 13 juin 1944

      -  page 63 : YTRES et ETRICOURT  ces deux tunnels de stockage ne se trouvent pas prés de NOYON dans                            l' Oise mais dans le département de la Somme.

     

      PARTIE 3                LE DEPLOIEMENT

 

       -  Centre de Commandement de SALEUX  ( page 80 )

          '' Il y avait cinq baraquements construits sur le flanc d'un talweg sinueux et boisé. Il existait des souterrains pour, je suppose, se réfugier en cas de bombardement. Les prisonniers ukrainiens qui creusaient ces souterrains étaient logés dans une usine désaffectée à 500m de là. Le site n'a jamias été découvert par les Alliès. Aprés la guerre les rôles ont été inversés. Ce sont des forces françaises qui ont occupé les baraquements. Leur mission était de surveiller des prisonniers de guerre allemands logés dans l'usine en ruines.''    

          (information transmise par Jean Louis Bouderlicque)   jlbouderlique@wanadoo.fr

     - VACQUERIETTE n°647 (page 105)

    Il semblerait que deux soldats allemands aient été  '' pulvérisés'' par une bombe durant un raid aérien. Ces deux hommes qui effectuaient ''une corvée de soupe'' se trouvaient au niveau du Calvaire proche du site.   ( information transmise par Dominique Flament )  dominiqu.flament@laposte.net

     - QUOEUX HAUT MAISNIL, n° 649 (page 111)

   L'officier en charge des deux rampes de lancement construites sur la commune ( certainement les deux sites n°648 et 649) résidait au village de FONTAINE L'ETALON chez le Maire de l'époque. Cet officier d'un age avancé et pas guerrier du tout, a demandé à la libération au Maire de le cacher dans son étable afin de le livrer aux ''Tommies'' et non aux ''partisans''. Le Maire à donc accéder à sa requête et l'a livré ensuite aux libérateurs.                                                                                                  ( information transmise par Dominique Flament )  dominiqu.flament@laposte.net

    - LABROYE n°650 ( page 115)

    Deux jeunes se sont fait tués quelques jours aprés la libération en essayant de démonter des munitions proches de la rampe dans le but de récupérer le lation des douilles d'obus.                                                                                                                ( information transmise par Dominique Flament )  dominiqu.flament@laposte.net

     - NEUILLY LE DIEN n°133 ( page 177)

    D'aprés un témoin, la rampe a bel et bien fonctionné jusqu'aux derniers jours avant la libération. ( information transmise par Dominique Flament )  dominiqu.flament@laposte.net

     - AUXI LE CHATEAU n°134 ( page 178)

     Toujous selon témoignage, les travaux de construction auraient été réalisés par des prisonniers Russes qui sont restés dans les mémoires comme trés miséreux.       ( information transmise par Dominique Flament )  dominiqu.flament@laposte.net

     - VILLERS L'HOPITAL, n°135 ( page 179)

     Nous avons retrouvé le propriétaire de la photo montrant la rampe de lancement aprés la Libération. Celle-ci étant de médiocre qualité dans le livre, nous la reproduisons ici sous une meilleure résolution.

Photo transmise par Roger Senechal, auteur d'un petit roman : '' Mouche ou le temps des bêtes''

Une tranche de vie de son village natal.

     Récit d'un bombardement par Roger Senechal : '' Quand l'escadrille de bombardiers arrivait au dessus de Villers, nous apercevions les tâches blanches qui se détachaient de avions avant d'entendre les sifflements puis les éclatements. Je suis encore frappé par le fait suivant : une nuit, une batterie de gros canons s'est installée entre Villers et Bonnières. Lorsqu'une vague de bombardiers s'est annoncée, les artilleurs les ont laissés s'approcher avant de déclencher le tir de barrage. Une forteresse touchée avant d'avoir largué son chargement a été pulvérisée et trois autres ont été endommagées ...''

     - AUXI LE CHATEAU, ferme de Mont Louis,  n°137 ( page 183)

    La rampe a fonctionné jusqu'a quelques jours avant la libération ( au moins jusquau 2 septembre qui est la date à laquelle les allemands font sauter le dépôt de munitions de la rampe en fin de soirée).                                                                       

      '' Ci-joint la photo du V1 d'étalonnage du Mont Louis. Il se situe à vol d'oiseau à environ 1km de la rampe à l'orée d'un petit bois. ''     ( information et photo transmise par Dominique Flament )     dominiqu.flament@laposte.net

      

     - AUTHEUX n°146 (page 224)      

     Selon Dominique Flament, il y aurait bien eu un ouvrage en béton détruit il y a une quinzaine d'années. Ceci expliquerait la présence du monticule de débris prés de la route et la mention sur la carte IGN d'un ''blockhaus''.

     - LA CHAUSSE TIRANCOURT  n° 157 (page 191)        

     Photo d'une pièce de Flak protégeant le bois. ( Photo transmise par  Robert Saizy)

 

 

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